Le 7 octobre, le Samedi Noir d'Israël, le Hamas a perpétré des crimes inhumains contre l'humanité. Parmi ces crimes, ils ont pris en otage des civils - femmes, hommes, personnes âgées, survivants de l'Holocauste et enfants aussi jeunes que neuf mois.
Cette semaine, Israël a dû prendre la décision extrêmement difficile et douloureuse d'accepter un accord négocié pour libérer les femmes et les enfants pris en otage par le Hamas. Ce faisant, au moins 50 femmes et enfants seront libérés à partir d'aujourd'hui.
En tant que peuple juif, nous vivons selon l'idéologie selon laquelle si nous sauvons ne serait-ce qu'une vie, nous sauvons le monde. Bien qu'il y ait une brève période pendant laquelle le pays peut respirer en voyant des enfants israéliens, dont certains orphelins, rentrer chez eux, il y a aussi une profonde incrédulité et angoisse face aux nombreux otages laissés derrière dans les mains du Hamas.
Il est difficile de décrire le sentiment dans le pays. Il n'y a pas de sentiment de "soulagement". Il n'y a qu'un sentiment de chagrin que, bien que ce soit la bonne décision, cela semble toujours tragiquement insupportable.
Yair Szlak
Président et chef de la direction
Fédération CJA
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